Voici ce que j'ai écrit ce matin sur mon blog.
Depuis quelques temps, j'ai pris la décision de me recentrer sur moi et éliminer ce qui provoque un mal-être intérieur, un stress. Je me remets donc au yoga, en empruntant quelques gestes de qi gong et en me mettant à un art martial, le goshindo. Je pense donc ainsi travailler sur divers aspects, aussi bien physique, que psychologique, en développant une assurance intérieure et en ne négligeant l'entrainement du corps. Du coup, ce matin, j'ai fait ma petite séance de yoga/qi gong que j'ai cloturé par une méditation.
Pendant cette séance, je me suis remémoré ce que disent les traditions orientales, aussi bien le zen que le yoga. J'ai pu ainsi voir mon agitation intérieure, ce courant électrique nerveux qui résulte dans un état de tension et donc de stress. Lorsqu'on se met dans une posture de calme et qu'on s'observe, alors on peut prendre conscience de l'ampleur de notre agitation intérieure. C'est que j'ai pu constater ce matin. Et là je me suis souvenu d'une chose, d'un élément récurrent dans les traditions spirituelles méditatives. Il est question d'un lac et de miroir. Lorsqu'on cherche à voir son visage dans un lac, tant qu'il y a des vagues, ce n'est pas possible, il faut attendre qu'elles cessent et que l'eau soit paisible pour enfin pouvoir voir son visage. L'eau, le lac, c'est le mental, notre agitation intérieure, notre activité psychique. Le visage, c'est notre être, le Soi. Tant que le mental est agité, il ne peut pas jouer son rôle de miroir. Dans le yoga, on dit que tant que le mental est en mouvement, on ne peut atteindre buddhi, cette partie la plus subtile de notre psychisme qui permet de jouer le rôle de miroir et enfin prendre conscience du Soi. Je connaissais depuis longtemps tout ça, mais ce matin, ça a pris une nouvelle tournure, comme si cette compréhension intellectuelle était devenue une évidence. Je sais maintenant où je vais.
Depuis quelques temps, j'ai pris la décision de me recentrer sur moi et éliminer ce qui provoque un mal-être intérieur, un stress. Je me remets donc au yoga, en empruntant quelques gestes de qi gong et en me mettant à un art martial, le goshindo. Je pense donc ainsi travailler sur divers aspects, aussi bien physique, que psychologique, en développant une assurance intérieure et en ne négligeant l'entrainement du corps. Du coup, ce matin, j'ai fait ma petite séance de yoga/qi gong que j'ai cloturé par une méditation.
Pendant cette séance, je me suis remémoré ce que disent les traditions orientales, aussi bien le zen que le yoga. J'ai pu ainsi voir mon agitation intérieure, ce courant électrique nerveux qui résulte dans un état de tension et donc de stress. Lorsqu'on se met dans une posture de calme et qu'on s'observe, alors on peut prendre conscience de l'ampleur de notre agitation intérieure. C'est que j'ai pu constater ce matin. Et là je me suis souvenu d'une chose, d'un élément récurrent dans les traditions spirituelles méditatives. Il est question d'un lac et de miroir. Lorsqu'on cherche à voir son visage dans un lac, tant qu'il y a des vagues, ce n'est pas possible, il faut attendre qu'elles cessent et que l'eau soit paisible pour enfin pouvoir voir son visage. L'eau, le lac, c'est le mental, notre agitation intérieure, notre activité psychique. Le visage, c'est notre être, le Soi. Tant que le mental est agité, il ne peut pas jouer son rôle de miroir. Dans le yoga, on dit que tant que le mental est en mouvement, on ne peut atteindre buddhi, cette partie la plus subtile de notre psychisme qui permet de jouer le rôle de miroir et enfin prendre conscience du Soi. Je connaissais depuis longtemps tout ça, mais ce matin, ça a pris une nouvelle tournure, comme si cette compréhension intellectuelle était devenue une évidence. Je sais maintenant où je vais.